In my mailbox #7

C’est un rendez-vous qui tourne assez souvent sur les blogs et que j’aime beaucoup aller découvrir. Cela donne toujours des idées. Et, malheureusement, quand on est amoureux des livres, on ne peut pas s’empêcher de faire entrer des nouveautés dans sa PAL, même si elle est déjà bien fournie.
Voici donc mes dernières entrées.

Certains vous tentent ? Vous les avez déjà lus ?

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Alors qu’il sombrait dans le désespoir, l’auteur de cet essai a connu plusieurs évènements singuliers : entre rencontre avec l’archange Gabriel et découverte inopinée de la spiritualité du Lahochi, son cœur s’est ouvert à lui-même et aux autres.
Au fil des années, Gabriel Aime a mis sa foi au service des personnes en souffrance. Pas à pas, il nous détaille une typologie des blessures de l’âme et les secrets d’une guérison spirituelle aboutie. Comment rencontrer ses Esprits Guides ? Comment faire naître la paix à partir de la souffrance ?

Ce recueil rassemble quelques réflexions inspirées par ma renaissance dans la lumière du Soi, cette Sagesse infinie qui gît en chacun de nous.
J’y partage ma compréhension métaphysique de notre réalité, de l’Univers et de Qui nous sommes.
Je vous propose d’explorer votre voyage terrestre depuis un point de vue différent, en y apportant un nouvel éclairage, et de le transformer en une passionnante aventure quotidienne.

Alice, jeune mère divorcée, décide après dix ans d’absence de revenir à Perros Guirec, la ville de son enfance. Elle espère en profiter pour retrouver sa famille, des paysages familiers, et laisser derrière elle un passé douloureux. Mais dans ce coin de Bretagne chargé de souvenirs, l’angoisse s’installe rapidement : ses parents sont devenus des étrangers, son amour de jeunesse est obsédé par l’enlèvement de sa soeur, qui a eu lieu vingt-cinq ans plus tôt, et les visages jadis connus ne sont plus que des fantômes. Bientôt, c’est toute la ville qui est secouée d’un vent de panique avec la disparition d’une fillette. Le début du cauchemar pour Alice, embarquée malgré elle dans une enquête à double vitesse, entre le passé et le présent…

Ils vivent dans un « terrier ». Les enfants, la mère. Protégés de la lumière extérieure qu’ils redoutent. Sales et affamés, ils survivent grâce à l’amour qui les réchauffe et surtout grâce à Aleph, l’immense, le père, qui les ravitaille, les éduque et les prépare patiemment au jour où ils pourront sortir. Parce que, dehors, il y a des humains. Parce qu’eux sont des monstres et que, tant qu’ils ne seront pas assez forts pour les affronter, ils n’ont aucune chance.
Mais un jour Aleph ne revient pas, un jour les humains prédateurs viennent cogner à leur porte. Alors, prêts ou pas, il va falloir faire front, sortir, survivre.

Jacmel, en Haïti. En 1938, au moment du Carnaval. C’est la fin de Germaine Villaret-Joyeuse, la chère marraine du narrateur et, en même temps, les noces de l’éblouissante Hadriana Siloé. Conduite à l’église, Hadriana pousse un oui hallucinant de détresse et s’écroule, morte, aux pieds de l’officiant. Mais nous sommes au pays vaudou et il n’y a pas de mort qui tienne. À peine enterrée dans sa belle robe blanche, Hadriana se prête au rituel de la métamorphose, et renaît sous l’espèce mythique d’une zombie. Dès lors, le jeune narrateur laisse se débrider son humour et son imagination, dévoilant la scène haïtienne dans toute sa fantaisie, sa sensualité, sa magie démontée et son désordre. Comme si la joie de vivre et la terreur de passer à trépas relevaient d’une seule et même énergie.

Melanie Stryder est une rebelle.
Notre Terre a été envahie par un ennemi invisible. Petit à petit, les âmes vagabondes s’emparent du corps des hommes en neutralisant leur esprit. La quasi-totalité de l’humanité a ainsi succombé.
Melanie Stryder fait partie du dernier groupe d’hommes libres. Lorsqu’elle est capturée par les Traqueurs, on lui insère Vagabonde, une âme exceptionnelle qui a déjà connu plusieurs corps. Elle sait les difficultés d’envahir un humain hostile : les émotions dévastatrices, le tumulte des sens, les souvenirs trop vifs. Et Vagabonde rencontre un obstacle supplémentaire : l’esprit de l’ancienne propriétaire résiste.

4 réflexions sur « In my mailbox #7 »

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