Les anges d’Elysium – Tome 1

Plume

Olivia Wildenstein

– Synopsis –

Il ne lui reste plus qu’un mois pour gagner les plumes qu’il lui manque quand Leigh, âgée de vingt ans, embarque pour Paris, où elle doit rencontrer son tout dernier projet, Jarod Adler, vingt-cinq ans, chef de la mafia parisienne et pécheur de la pire espèce… un Triple.
Si Leigh parvient à convaincre Jarod d’accomplir une seule bonne action, elle a une chance de gagner cent plumes, plus qu’il n’en faut pour compléter ses ailes et accéder à Elysium, la terre des anges.
Ce dont elle ne se doute pas, c’est que le charme ténébreux de Jarod va lui coûter des plumes.
Elle a la ferme intention de le sauver, et lui, la ferme intention de la détruire.
Jusqu’à ce qu’il prenne conscience qu’en détruisant ses ailes, il détruit aussi son cœur.
Un cœur qu’il rêverait d’entendre battre rien que pour lui.

Première parution : Autoédition – 2020
Ma lecture sur : Editions L’Archipel – 2024
544 pages

Je remercie les Editions l’Archipel et NetGalley pour m’avoir transmis ce livre en échange de mon avis

Mon avis

Voilà un livre que j’ai adoré découvrir. L’autrice nous propose une approche intéressante des anges et de leur présence sur terre. Nous apprenons à connaître les personnages, leur empathie, leur bienveillance, notamment la protagoniste, qui est adorable, touchante et attachante. J’ai beaucoup aimé la manière dont ces anges s’évertuent à sauver les âmes humaines pour qu’elles puissent se réincarner.

L’approche est originale avec cette jeunesse des anges qui peuvent gagner ou perdre des plumes pour tenter de compléter leurs ailes avant une ascension que tous attendent avec impatience.

Toute la première moitié du roman est prenante et intéressante et j’ai avancé avec avidité, me demandant comment ces jeunes anges pouvaient évoluer. Pourtant, petit à petit, j’ai vu mon intérêt baisser quelque peu car l’histoire change de cap pour devenir une romance exclusive. Alors, oui, les personnages sont bien travaillés, l’écriture est belle et immersive. Cependant, j’ai perdu ce qui m’avait happée dès le début.

La romance est un peu trop convenue pour moi, avec une jeune ingénue, innocente et douce qui découvre la passion auprès d’un bad boy, pas si mauvais que ça. Cela n’en reste pas moins une lecture à découvrir, ne serait-ce que pour la plume de l’autrice et pour cette originalité dans l’approche.

Libertas : Dilemme

Charlotte Benoit

– Synopsis –

Quand Marianne, une jeune femme à la vie tranquille et modeste, se fait embarquer par son amie pour un week-end entre filles sur la très contestée île de Libertas, tout ce qu’elle pensait savoir de la vie et de l’amour va en être ébranlé. Elle va croiser les destins hors norme d’Andrew et de Nicolas, escrocs de grande envergure dirigeant cette utopie qui a fait de la liberté une ligne de conduite. Mais peut-on vraiment être libres sans enchaîner les autres à ses fantasmes ?

Première parution et ma lecture sur :
Autoédition – 2024
152 pages

Je remercie l’autrice pour m’avoir transmis son livre en échange de mon avis

Mon avis

Je suis assez mitigée concernant ce roman. D’un côté, il y a l’écriture fluide de l’autrice qui nous embarque sans difficulté. Il y a aussi l’histoire qui est plutôt sympathique et originale.

Un pays de liberté totale ? Pourquoi pas. D’autant que, au fil de l’histoire, on se rend compte que la liberté n’est pas si totale que ça puisque les dirigeants font leur propre loi.

Cependant, J’ai trouvé que l’histoire et les personnages manquaient un peu de profondeur et de complexité. Tout est trop rapide et assez linéaire, je n’ai pas réussi à m’attacher réellement aux personnages.

Il faut dire que le roman est très court, c’est presque une longue nouvelle. Du coup, si je prends ce roman comme une nouvelle plus longue que d’ordinaire, alors les défauts s’estompent. Car, en peu de pages, l’autrice réussit à nous raconter une histoire sympathique dans laquelle les protagonistes évoluent dans un environnement digne de Las Vegas.

Miss Erington, Noël et autres désastres

Liv Fox

– Synopsis –

Rien ne va plus pour Miss Eleanor Erington?! À quelques semaines de Noël et de son dix-huitième anniversaire, son père lui annonce que contrairement à leur habitude, ils ne passeront pas Noël au superbe domaine de Moorsbury, mais bien au fin fond du Devonshire aux côtés de l’exécrable famille Hunt.
Abattue de devoir célébrer Noël et passer les fêtes de fin d’année en compagnie d’un mufle comme Henry, le fils des Hunt, elle s’oppose farouchement à ce voyage, mais son père ne lui laisse pas le choix.
À son arrivée à Thornhall, Eleanor est forcée de reconnaitre que le domaine est somptueux, les domestiques accueillants et les hôtes charmants.

Première parution et ma lecture sur :
Autoédition – 2020
288 pages

Mon avis

Noël est propice aux fêtes et aux histoires mignonnes qui apportent le sourire. Cette fois, nous sommes plongés dans un Noël ancien, au début du XIXe siècle. Le faste et les décorations y sont, les belles demeures et les belles toilettes aussi.

C’est un peu comme se plonger dans une histoire de Jane Austen avec une écriture plus moderne et l’ambiance de Noël en plus. Les personnages sont maintenus dans le carcan de la réputation mais ils sont vivants et attachants.

L’autrice nous montre aussi à quel point les premières impressions sont parfois trompeuses, à quel point les préjugés et le manque de communication peuvent mener à des jugements erronés. Mais, heureusement pour le lecteur, les protagonistes sont suffisamment intelligents, réfléchis et bienveillants pour découvrir la réalité des choses.

L’histoire en elle-même est empreinte de douceur et de bien-être. Nous sommes dans un cocon, vivant les relations et les émois de nos protagonistes au travers de mots qui coulent et nous entraînent vers un final qui, s’il n’a rien de surprenant, nous fait tout de même sourire avec douceur.

C’est donc une romance de Noël qui fait son job et qui nous maintient dans une belle ambiance festive.

Le fils du père noël est un con

Ellie BONNERT

– Synopsis –

Emma a réussi sa vie loin de Holly Falls, et pour rien au monde elle n’y retournerait. Trop de mauvais souvenirs y sont associés. Cependant, quand son père se blesse, elle fonce jusqu’à la maison de son enfance pour prendre soin de lui et maintenir à flot l’ébénisterie familiale.
Toutefois, le village qu’elle connaissait a bien changé : ses ennemis jurés l’adorent, les rues qui l’ont vue grandir se sont transformées en annexe de la Laponie, et même son bar préféré a été repris par un inconnu bourru mais bienveillant. Ça pourrait presque être le pitch d’un téléfilm de Noël ; il ne manque plus que l’âme-sœur vétérinaire – ou pédiatre, elle n’est pas difficile.

Première parution et ma lecture sur :
Editions Hugo & Cie – 2022
473 pages

Mon avis

Ce livre est bourré des clichés des romances de Noël, c’est vrai, mais de manière totalement assumée. Tout au long du roman, les personnages font référence aux films de Noël et les tournent en dérision. Pourtant, au fur et à mesure de l’avancée de l’histoire, ils font un parallèle entre ce qui leur arrive et ces romances de Noël.

Il est vrai que toutes les cases, ou presque, sont cochées :
– la jeune femme qui a réussi sa vie professionnelle à New York et qui retourne dans sa petite ville natale enneigée
– l’ex petit copain qui refait surface
– le bel homme dont on ne se rend pas compte qu’il est si attirant
– etc.

Je crois que le point commun entre toutes ces histoires si semblables, c’est la leçon de vie. Réussir sa vie professionnelle, c’est bien, mais il faut aussi prendre le temps de voir ce qui nous entoure. Parfois, faire une pause, même forcée, nous oblige à revoir nos priorités. Et, bien sûr, c’est toujours l’amour qui prime.

Donc, même si cette histoire n’a rien d’original, on se retrouve totalement embarqué avec le sourire. Aucun suspens, c’est inutile, mais c’est la magie de Noël qui opère. N’est-ce pas tout ce que l’on souhaite en cette belle période festive ?

Je veux un homme qui…

Tamara BALLIANA

– Synopsis –

Oriane, jeune policière sportive et célibataire, ne rencontre que des hommes qui ne l’intéressent pas, ou qui ne sont pas disponibles à l’instar de Jules, le patron du Café de la Place de Cadenel, qu’elle aime secrètement depuis l’adolescence.
De son côté, Jules est plutôt préoccupé par la préparation de sa soirée, qui s’annonce mémorable. Pari réussi… mais pas tout à fait comme il l’imaginait ! Voir tous ses plans partir en fumée, et se retrouver au poste menotté par Oriane ne faisait certainement pas partie du programme.

Première parution et ma lecture sur :
Editions Montlake – 2020
303 pages

Mon avis

Cette romance est agréable à lire, les personnages sont sympathiques et l’histoire est mignonne. Malheureusement, je n’y ai pas vraiment trouvé mon compte.

L’histoire est un peu trop clichée à mon goût. Je n’ai rien contre les romances bateaux, je crois qu’elles le sont toutes à peu près, cependant, j’aime quand quelque chose vient éveiller mon intérêt, des personnages vivants et complexes ou une histoire haletante ou encore de l’humour.

Je n’ai rien trouvé de tout cela dans cette lecture. Je n’ai pas réussi à vraiment m’attacher aux protagonistes et l’histoire ne m’a pas fait rêver. C’est mignon, ça détend, ça fait passer un bon moment. Et voilà. C’est tout.

Malgré tout, l’écriture est fluide et l’histoire se lit facilement, l’autrice évite la mièvrerie, ce qui est quand même bien appréciable. Elle a aussi voulu mettre en avant le fait qu’il faut s’affranchir de l’apparence pour s’attacher plus à la personnalité des personnes. Mais cela ne m’a pas suffi.

Le porte-bonheur

Nicholas SPARKS

– Synopsis –

Quand le Marine Logan Thibault découvre la photo d’une jeune femme souriante lors de son 3ème jour en Irak, son instinct lui conseille de ne pas s’en occuper. Au lieu de ça, il se rend à la base pour chercher le propriétaire. Personne ne la réclame, il la garde donc dans sa poche.
Bientôt, Thibault semble avoir la chance de son côté. Que ce soit au poker ou au combat (2 membres de son unité ont été tués là où il a survécu). Son ami Victor a une explication : la photo lui porte bonheur.
De retour dans le Colorado, Thibault ne peut se sortir cette photo (et la jeune femme) de l’esprit. Convaincu qu’elle détient le destin entre ses mains, il décide de partir à sa recherche à travers le pays.

Première parution : Etats-Unis d’Amérique – 2008
Titre original : The lucky one
Ma lecture sur : Editions Michel Lafon Poche – 2019
Traduction : Jean-Noël Chatain
441 pages

Mon avis

Voilà longtemps que j’avais envie de découvrir la plume de Nicholas Sparks. Alors, quand je suis tombée sur ce livre, je n’ai pas résisté. Et je ne l’ai pas regretté.

L’écriture de l’auteur est tout en sensibilité et en douceur. Pour une fois, nous avons un vrai point de vue masculin sur les sentiments. Et surtout, on évite totalement le machisme et l’archétype du « mâle » fort et supérieur qui me fait bien trop souvent grincer des dents dans les romances.

Au contraire, nous avons là un homme tout ce qu’il y a de plus normal. Mais c’est aussi quelqu’un de sensible, de réfléchi, de courageux. Il n’y a pas de coup de foudre intempestif dans cette romance mais bien une construction des sentiments, progressive, comme elle peut l’être dans la vie.

C’est aussi une belle histoire qui nous est contée, une histoire de courage et d’espoir. Les personnages secondaires sont aussi bien travaillés, vivants et attachants. Une mention particulière cependant pour ce chien, gentil et courageux, qui fait partie intégrante de l’histoire.

J’ai passé un très bon moment avec cette lecture et je suis persuadée que ce ne sera pas la dernière que je lirai de cet auteur.

Orgueil et préjugés

Jane AUSTEN

– Synopsis –

Mr et Mrs Bennett ont cinq filles à marier. À l’arrivée d’un nouveau et riche voisin, la famille espère que l’une d’entre elles pourra lui plaire… Au-delà des aventures sentimentales des cinq filles Bennett, Jane Austen dépeint les rigidités de la société anglaise au tournant du XIXe siècle. Le comportement et les réflexions d’Elizabeth Bennett, son personnage principal, révèlent les problèmes auxquels sont confrontées les femmes de la gentry campagnarde pour s’assurer sécurité financière et statut social : la solution passe en effet par le mariage.

Première parution : Angleterre – 1813
Titre original : Pride and Prejudice
Ma lecture sur : Editions l’Archipel – 2022
Traduction : Isabelle de Montolieu
366 pages

Mon avis

Depuis deux cents ans, Jane Austen a fait rêver quelques milliers de lecteurs. Ses histoires n’ont pas pris une ride car les sentiments ne vieillissent jamais. Et l’autrice s’y entend pour nous décortiquer les sentiments de ses protagonistes. Mais toujours avec discrétion, avec retenue et pudeur.

Je crois bien que Orgueil et préjugés fait partie de mes romans de Jane Austen que je préfère. Ses personnages sont profonds et complexes. Mais elle n’hésite pas non plus à se moquer de la haute société, tellement enfermée dans un carcan de futilité. Et certains de ses personnages frisent le ridicule, mettant ainsi en avant la beauté de ses protagonistes.

Lizzie est intelligente, têtue et rebelle. Résolument moderne, elle ne dépareillerait pas à notre époque. Quant à Fitzwilliam Darcy ! Comment ne pas être séduite par cet homme hautain mais toujours généreux et attentif aux plus faibles, orgueilleux par éducation mais capable de se remettre en question. C’est peut-être un des personnages de fiction qui a le plus fait rêver.

Les livres de Jane Austen sont pour moi une référence dans la littérature. Car, au-delà de la simple romance, c’est toute une époque qui est mise en avant, avec une écriture très raffinée qui me ravit à chaque lecture.

Ma chronique sur
Raison et sentiments

Borderline : Evie

Coralie BERNARDIN

– Synopsis –

Je m’appelle Evelyne Riviera, j’ai vingt-quatre ans. J’ai obtenu un travail d’infirmière humanitaire à Ouchgouli, un village de haute montagne, en Géorgie. Ce poste me permettra de concilier mon métier avec ma passion pour les sports extrêmes. Je me vois déjà gravir le mont Chkhara pour dévaler les pentes en ski de randonnée, car l’hiver a étalé son manteau blanc.
Malheureusement, un hélicoptère de l’ONG pour laquelle je bosse se crashe en pleine tempête, à la frontière russe. Seule à vouloir porter secours à l’équipage, je rencontre Ludovic Staveski, un romancier athlétique, qui me vient en aide. C’est là que tout dérape. Si son magnétisme m’attire avec la force de l’attraction de la terre sur la lune, son caractère dominateur m’incite à prendre la fuite. Comment peut-on être aussi sexy, et froid comme un iceberg ? Autant vous dire que je ne vais pas me laisser faire.

Première parution et ma lecture sur :
Editions Librinova – 2023
594 pages

Je remercie les Editions Librinova pour m’avoir transmis ce livre en échange de mon avis

Mon avis

Je n’ai pas vraiment apprécié ma lecture. Et ce n’est pas à cause de l’écriture de l’autrice, qui est fluide, directe et plutôt immersive. Ni à cause des nombreuses digressions sur le terrorisme qui n’apportent que des longueurs inutiles.

Si je n’ai pas apprécié, c’est surtout à cause des personnages eux-mêmes. Le machisme exacerbé du protagoniste m’a, plus d’une fois, fait grincer des dents. Une relation dominant-dominé, surtout lorsque c’est à sens unique, est pour moi totalement malsaine.

Chacun fait ce qu’il veut dans son intimité, mais dès que la crainte entre dans une relation, cela me dérange beaucoup. Il m’a donc été très difficile de m’attacher à de tels personnages. A lui, qui veut imposer sa volonté. Et à elle, qui accepte de s’humilier.

Je suis allée au bout car il y a également une enquête qui n’était pas inintéressante, mettant en scène des terroristes qui sévissent en plein pays perdu. Certains passages sont assez prenants, mais cela n’a pas suffi à me convaincre totalement.

Raison et sentiments

Jane AUSTEN

– Synopsis –

Elinor et Marianne Dashwood sont deux sœurs aux caractères bien différents. Privées de leur héritage à la mort de leur père, elles doivent quitter le Sussex en compagnie de leur cadette Margaret et de leur mère. Dans le Devon, elles ne tardent pas à s’habituer à leur désormais modeste quotidien et à leurs nouveaux voisins. Mais lorsqu’elles tombent amoureuses, Elinor et Marianne se retrouvent tiraillées entre ce que leur impose la raison et ce que leur dicte leur cœur.

Première parution : Angleterre – 1811
Titre original : Sense and Sensibility
Ma lecture sur : Editions l’Archipel – 2022
Traduction : Isabelle de Montolieu
390 pages

Mon avis

Jane Austen fait partie, pour moi, des auteurs dont les livres se dégustent tranquillement. Son écriture est discrète et raffinée. Il faut prendre son temps pour s’imprégner de tous les non dits, de tout ce qui est sous-entendu.

C’est aussi le reflet d’une époque où les femmes n’avaient qu’un objectif dans la vie, un beau mariage. Les codes de l’époque sont extrêmement contraignants au regard d’une femme moderne. Et pourtant, nous sommes tellement immergés dans cette histoire, que cela nous paraît presque naturel.

Les personnages sont vivants, émouvants et attachants. On ne peut qu’avoir le coeur serré devant leurs peines, leurs espoirs brisés. Les chagrins d’amour sont intemporels et on ne peut que compatir avec ces jeunes femmes, emprisonnées dans le carcan de la bienséance. C’est une époque où une vie peut être totalement brisée à cause d’une erreur si elle nuit à une réputation qui se doit d’être irréprochable.

J’ai beaucoup aimé vivre aux côtés de ces jeunes femmes belles et fortes, qui savent sourire dans l’adversité, qui mettent la famille au premier plan. Jane Austen sait nous transporter dans son histoire et nous faire vibrer d’émotions. Ses histoires sont toujours une valeur sûre.

Meilleurs ennemis

Sally THORNE

– Synopsis :

Le jour où Lucy rencontre son nouveau collègue, Joshua Templeman, elle n’en revient pas : il est à tomber ! Sauf qu’il ne lui faut pas plus de deux secondes pour découvrir qu’il est aussi froid, cynique, impitoyable… absolument détestable ! Alors, quand leurs chefs respectifs les mettent en concurrence pour une promotion, Lucy est prête à tout pour le battre. Car, si elle gagne, elle sera sa boss. S’il gagne… elle démissionnera. Autant dire qu’elle n’a pas le choix : elle doit gagner. Mais lorsque, un soir, dans l’ascenseur, ce traître de Josh l’embrasse fougueusement, elle est complètement déstabilisée. Se serait-elle trompée à son sujet depuis le début ? Ou est-ce une tactique de Josh pour lui faire perdre ses moyens ?

Première parution : Australie – 2016
Titre original : The Hating Game
Ma lecture sur : Harper Collins Poche – 2021
Traduction : Charlotte Demanie
473 pages

Mon avis

Rien d’extraordinaire dans cette comédie romantique, mais elle est adorable et se lit avec le sourire. C’est le genre de livre qui fait passer un bon moment de détente.

Les deux protagonistes sont attachants. Elle, est touchante, totalement immature, mais aussi volontaire, intelligente et spontanée. Lui, est secret à souhait, un peu rigide mais avec une fêlure qui ne peut que toucher.

Bien sûr, deux collègues qui se détestent, ça commence bien. Mais, aucun suspens dans cette histoire, on sait très bien comment cela va finir. Pourtant je me suis attachée aux deux protagonistes et j’étais curieuse de voir comment ils allaient s’en sortir.

Toutes les comédies romantiques se ressemblent plus ou moins, du coup, il y a quelques ingrédients indispensables : des personnages bien travaillés et attachants et une plume dynamique et enlevée. C’est le cas ici. C’est drôle, on ne se prend pas la tête et on passe un bon moment. Que demander de plus ? C’est parfait pour l’été.